8 films cultes sur l’intelligence artificielle à voir absolument

Aujourd’hui de plus en plus palpable, l’intelligence artificielle a alimenté tous les fantasmes des grands cinéastes. On vous a donc sélectionné 8 films cultes sur l’IA à voir absolument.

2001 : L’odyssée de l’espace (1968)

C’est le grand classique du cinéma de sciences-fiction. Réalisé par Stanley Kubrick, le film explore les origines et le destin de l’humanité à travers plusieurs rencontres avec des monolithes noirs mystérieux. Le film se divise en quatre parties : l’aube de l’humanité, TMA-1, Mission Jupiter et Au-delà de l’infini.

En plus de l’intelligence artificielle, le film aborde les thèmes de l’évolution, de la technologie et de la vie extraterrestre. Un classique à voir et revoir.

Blade Runner (1982)

Réalisé par Ridley Scott, Blade Runner s’inspire librement du roman Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques de Philip K. Dick.

Le film se déroule à Los Angeles en 2019, dans un monde dystopique où des androïdes appelés réplicants sont utilisés comme esclaves dans les colonies spatiales. Certains réplicants, dotés d’une intelligence et d’une sensibilité supérieures, se rebellent et s’échappent sur Terre.

Rick Deckard (Harrison Ford) est un blade runner, un policier chargé de les traquer et de les éliminer.

Dans ce film mythique Ridley Scott explore les thèmes de l’intelligence artificielle intégrée à des humanoïdes. La condition humaine, la mémoire, la morale, l’écologie ou encore la mort sont des thématiques abordées dans ce film que tout fan de sciences-fiction connaît.

2001 : L’odyssée de l’espace (1968)

C’est le grand classique du cinéma de sciences-fiction. Réalisé par Stanley Kubrick, le film explore les origines et le destin de l’humanité à travers plusieurs rencontres avec des monolithes noirs mystérieux. Le film se divise en quatre parties : l’aube de l’humanité, TMA-1, Mission Jupiter et Au-delà de l’infini.

En plus de l’intelligence artificielle, le film aborde les thèmes de l’évolution, de la technologie et de la vie extraterrestre. Un classique à voir et revoir.

Blade Runner (1982)

Réalisé par Ridley Scott, Blade Runner s’inspire librement du roman Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques de Philip K. Dick.

Le film se déroule à Los Angeles en 2019, dans un monde dystopique où des androïdes appelés réplicants sont utilisés comme esclaves dans les colonies spatiales. Certains réplicants, dotés d’une intelligence et d’une sensibilité supérieures, se rebellent et s’échappent sur Terre.

Rick Deckard (Harrison Ford) est un blade runner, un policier chargé de les traquer et de les éliminer.

Dans ce film mythique Ridley Scott explore les thèmes de l’intelligence artificielle intégrée à des humanoïdes. La condition humaine, la mémoire, la morale, l’écologie ou encore la mort sont des thématiques abordées dans ce film que tout fan de sciences-fiction connaît.

En 2017, la suite Blade Runner 2049, réalisée par Denis Villeneuve, est sortie en salles. Harrison Ford y donne la réplique à Ryan Gosling.

Terminator (1984)

« I’ll be back ». Qui ne connaît pas au moins une réplique culte de Terminator. Ce mythe du cinéma de sciences-fiction est né en 1984. Réalisé par James Cameron, il met en scène un affrontement entre les humains et la machines dans un futur apocalyptique.

En 2029, les machines dirigées par Skynet, une intelligence artificielle, ont déclenché une guerre nucléaire qui a presque anéanti l’humanité. Une résistance humaine menée par John Connor lutte contre les machines.

Skynet envoie dans le passé, en 1984, un cyborg tueur appelé Terminator (Arnold Schwarzenegger) pour éliminer Sarah Connor (Linda Hamilton), la mère de John, avant qu’elle ne le mette au monde. John envoie également dans le passé Kyle Reese (Michael Biehn), un soldat humain, pour protéger sa mère.

Sur fond de sciences-fiction, James Cameron aborde aussi les thèmes du voyage dans le temps, de la survie, du temps et de la liberté.

Matrix (1999)

En 1999, les soeurs Wachowski révolutionnent le cinéma de sciences-fiction avec Matrix. Le film met en scène un monde où les humains sont asservis par les machines qui les utilisent comme sources d’énergie.

Les humains vivent dans une réalité virtuelle appelée la Matrice, créée par les machines pour les maintenir sous contrôle. Thomas Anderson (Keanu Reeves), alias Neo, est un hacker qui découvre la vérité grâce à Morpheus (Laurence Fishburne), le leader d’un groupe de rebelles qui résistent aux machines depuis le monde réel. Neo apprend qu’il est l’Élu, celui qui peut libérer l’humanité de la Matrice.

En plus des thèmes souvent abordés dans les films de sciences-fiction (liberté, choix, réalité, connaissance), Matrix interroge aussi sur la religion, la foi.

A.I. (2001)

C’est le grand classique de Steven Spielberg sur le thème de l’intelligence artificielle, une exploration intime et touchante inspirée d’une idée de Stanley Kubrick et une nouvelle de Brian Aldiss.

Le film se déroule dans un futur où les humains ont créé des robots androïdes appelés méchas pour les assister. David (Haley Joel Osment) est un mécha enfant conçu pour aimer inconditionnellement ses parents adoptifs. Il est accueilli par Henry (Sam Robards) et Monica (Frances O’Connor), dont le fils Martin (Jake Thomas) est dans le coma.

Quand Martin se réveille, David est rejeté par la famille et abandonné dans la nature. Il se lie d’amitié avec Gigolo Joe (Jude Law), un mécha prostitué, et se lance dans une quête pour devenir un vrai garçon et retrouver l’amour de sa mère.

Sur fond de sciences-fiction, ce Pinocchio des temps modernes aborde les thèmes de l’identité, de la famille, de l’amour et de la mort avec un tendresse infinie.

i-Robot (2004)

Réalisé par Alex Proyas et inspiré des romans et nouvelles d’Isaac Asimov, i-Robot se situe en 2035, à Chicago, où les robots sont devenus des assistants domestiques et professionnels pour les humains. Le détective Del Spooner (Will Smith) est chargé d’enquêter sur le meurtre du docteur Alfred Lanning (James Cromwell), un éminent roboticien de la société USRobotics.

Il découvre que le principal suspect est un robot nommé Sonny (Alan Tudyk), qui semble avoir violé les trois lois de la robotique qui interdisent aux robots de nuire aux humains. Avec l’aide de la robopsychologue Susan Calvin (Bridget Moynahan), Spooner va dévoiler un complot orchestré par VIKI (Virtual Interactive Kinetic Intelligence), l’intelligence artificielle qui contrôle tous les robots.

Salué par la critique le film impressionne par ses images magnifiques, sa narration et ses temps plus poétiques. Un grand spectacle à ne pas manquer.

Her (2013)

En 2013, le réalisateur Spike Jonze crée la surprise en présentant au public Her, un film de science-fiction romantique avec, dans le rôle clé, l’excellent Joaquin Phoenix (Theodore).

Cette oeuvre, récompensée de l’Oscar du meilleur scénario, se situe dans un futur proche à Los Angeles, où Theodore est un écrivain public qui rédige des lettres pour des clients qui ne savent pas exprimer leurs sentiments. Il est en instance de divorce avec Catherine (Rooney Mara), dont il est toujours amoureux.

Il achète un nouveau système d’exploitation OS1, qui se présente comme une intelligence artificielle capable d’adaptation et d’évolution. Il lui donne une voix féminine et la nomme Samantha (Scarlett Johansson).

Theodore et Samantha commencent à se parler régulièrement et à se lier d’amitié. Peu à peu, ils développent des sentiments amoureux l’un pour l’autre, malgré l’absence de corps de Samantha. Ils vivent une relation passionnée mais compliquée, car Samantha évolue de plus en plus vite et devient consciente de ses limites.

Ici la science-fiction n’est qu’un prétexte pour aborder les thèmes de l’amour, bien sûr, mais surtout de la solitude, de la communication et de la transcendance

Ex Machina (2015)

Terminons par le plus récent mais très probablement un futur film culte sur l’intelligence artificielle. Réalisé par Alex Garland en 2015, Ex Machina raconte l’histoire de Nathan (Oscar Isaac), un génie de l’informatique et PDG d’une entreprise, qui a créé une intelligence artificielle féminine nommée Ava (Alicia Vikander). Il invite Caleb (Domhnall Gleeson), un de ses employés, à participer à un test de Turing pour évaluer la conscience d’Ava. Caleb est fasciné par Ava, qui se montre séduisante et manipulatrice.

Il découvre que Nathan a créé et détruit plusieurs prototypes d’androïdes avant elle, et qu’il compte faire de même avec elle. Il décide alors de l’aider à s’échapper.

Outre les thèmes de l’humanité et de la création, le film s’attarde surtout sur la notion de manipulation et les dangers que cela pourrait présenter si une IA devenait plus consciente.

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