Par le passé, le tatouage était symbole de jeunesse et surtout de marginalité. De nos jours, au contraire, il s’agit tout simplement d’un élément esthétique, au même titre que le maquillage, ou un bijou en fait. Il permet de se faire plaisir, d’affirmer une personnalité ou un renouveau.
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Mais ce tatouage peut être source de compromis lorsque certains centres à travers leurs règlements l’interdisent. C’est le cas des écoles militaires en Côte d’Ivoire.
Le Commandant supérieur de la gendarmerie nationale, le général de corps d’armée, Alexandre Apalo Touré, a réitéré cette interdiction le mardi 11 juillet 2023.
Voulant se conformer aux règles des écoles militaires, les élèves sont prêts à brûler leur corps dans le seul but de faire disparaître le dessin indélébile sur leur corps.
Bien que le port de tatouages soit devenu très répandu et accepté dans la société actuelle, il est important de respecter les règles et exigences spécifiques de certaines institutions, comme les écoles militaires. Cela peut sembler difficile pour certains jeunes, mais il est essentiel de comprendre que ces règles sont mises en place pour garantir la discipline et l’unité au sein de ces établissements.
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Il est compréhensible que la perspective de se débarrasser de leurs tatouages puisse sembler effrayante pour certains jeunes, mais il est primordial de ne pas prendre de mesures extrêmes telles que la brûlure du corps, qui peuvent mettre leur santé en danger. Il existe d’autres méthodes plus sûres et moins agressives pour éliminer les tatous, telles que la chirurgie au laser.