La COP28 s’est achevée à Dubaï avec un compromis historique, marquant un appel inédit à abandonner progressivement les énergies fossiles, principal moteur du réchauffement climatique.
Un compromis historique
Après des délibérations nocturnes, la COP28 a adopté un texte sans précédent exhortant les nations à entamer une transition hors des énergies fossiles. C’est une avancée significative vers la limitation du réchauffement climatique à 1,5°C, selon le commissaire européen chargé du Climat, Wopke Hoekstra.
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L’approbation unanime du compromis
La décision préparée par les Emirats arabes unis a été adoptée lors de la séance plénière de clôture, suscitant une ovation debout et des applaudissements enthousiastes des délégués. Une reconnaissance unanime de l’importance de cette avancée historique.
Focus sur les énergies fossiles
Dès l’ouverture, la COP28 a mis l’accent sur les énergies fossiles. Malgré l’opposition résolue de certains pays pétroliers, dont l’Arabie saoudite, plusieurs États, dont l’Union européenne, ont insisté pour inclure explicitement dans l’accord final le besoin de “sortir” du pétrole, du gaz et du charbon.
Avec + France 24