Ce n’est pas la première fois que son nom attire l’attention. Laurent Simons, jeune prodige belge, continue de défier toutes les attentes. Après avoir décroché un master en physique à un âge où la plupart des adolescents commencent tout juste leurs études secondaires, il s’apprête désormais à présenter publiquement sa thèse de doctorat… à seulement quinze ans.
Son sujet de recherche, particulièrement pointu, semble presque incompréhensible pour le commun des mortels : les polarons de Bose dans les superfluides et les supersolides. Pour résumer, il s’agit de quasi-particules résultant de l’interaction entre une impureté et un gaz quantique refroidi à des températures extrêmement basses. Un domaine qui exige habituellement des années d’études avancées.
Un génie précoce et un doctorat déjà bien avancé
Le quotient intellectuel de Laurent, mesuré avant ses dix ans, atteignait déjà 145. Un chiffre qui confirme la précocité exceptionnelle de ce jeune Oostendais. Son père confie au journal Het Laatste Nieuws que Laurent ne ressent aucune appréhension avant sa défense publique, prévue lundi à 16h sur le campus Drie Eiken de l’Université d’Anvers.
« Ce n’est qu’une formalité », explique-t-il. Le jeune prodige a déjà passé une défense préliminaire avec succès et aborde l’épreuve en toute sérénité.
Un deuxième doctorat à Munich : cette fois en médecine
Actuellement installé à Munich avec son père, Laurent a déjà entamé… un second doctorat, cette fois en médecine, avec une spécialisation en intelligence artificielle. Un choix qui peut surprendre, puisque le domaine semble éloigné de la physique quantique. Mais pour lui, c’est une continuité logique :
« Ce doctorat va me prendre encore un an et demi à deux ans. Après cela, je resterai actif dans le monde universitaire. Je veux continuer à apprendre et à me perfectionner. »
Il précise également que la physique quantique lui a donné « de solides bases », puisqu’elle étudie les particules fondamentales constituant notre univers. « On pourrait même la considérer comme le fondement de tout », ajoute-t-il.
Un rêve ambitieux : prolonger la vie humaine
Derrière son impressionnant parcours académique se cache un objectif clair : prolonger la durée de vie des êtres humains. Laurent s’intéresse particulièrement aux technologies liées aux cyborgs, c’est-à-dire la fusion entre l’humain et la machine.
Ses interrogations sont à la fois scientifiques et philosophiques :
Comment améliorer les capacités du corps humain ?
Jusqu’où la technologie peut-elle nous aider à vivre plus longtemps et en meilleure santé ?
Des questions qui attirent déjà l’attention de grandes entreprises et d’investisseurs fortunés. Même si rien n’est encore concrétisé, son père confirme que plusieurs acteurs majeurs suivent attentivement son parcours.
Un prodige… mais aussi un adolescent normal
Malgré son intelligence hors norme et un emploi du temps digne d’un chercheur confirmé, Laurent affirme ne pas sacrifier son enfance. Il reste un adolescent comme les autres, avec des passions simples :
passer du temps avec ses amis,
jouer aux jeux vidéo,
enchaîner les marathons de films Marvel.
Un équilibre que ses parents encouragent, soucieux qu’il puisse grandir sereinement malgré sa précocité.
Laurent Simons, un nom à retenir
À 15 ans, il s’apprête à défendre un doctorat en physique quantique, étudie la médecine à Munich, et rêve de repousser les limites de la longévité humaine. Entre ambition scientifique, curiosité insatiable et jeunesse assumée, Laurent Simons incarne l’image moderne du génie : brillant, multidisciplinaire et profondément humain.
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