Le Programme alimentaire mondial des Nations unies (PAM), organisation humanitaire très réputée, réputée et la plus importante au monde, opère dans plus de 120 pays et territoires, apportant une aide vitale dans les situations d’urgence, ouvrant la voie à la paix , à la stabilité et à la prospérité pour les personnes se remettant d’un conflit, d’une catastrophe ou de l’impact du changement climatique, et soutenant des moyens de subsistance durables et résilients pour un monde où la faim n’existera plus .
Au PAM, les personnes sont au cœur de tout ce que nous faisons, et la vision de la future main-d’œuvre du PAM est celle d’équipes diverses, engagées, qualifiées et très performantes, sélectionnées sur la base du mérite, opérant dans un environnement de travail sain et inclusif, vivant les valeurs du PAM (intégrité,
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Le PAM recherche des candidats de la plus haute intégrité et du plus grand professionnalisme qui se séparent de ses principes humanitaires. La sélection du personnel se fait sur une base compétitive et nous nous engageons à promouvoir la diversité et l’équilibre entre les sexes. Les candidatures féminines sont vivement encouragées.
Le Bureau régional du PAM pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre couvre une région qui s’étend de la Mauritanie au Tchad et le long de la côte du Cameroun au Sénégal. Il comprend 20 pays. Le Bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest (RBD) est basé à Dakar et fournit une orientation stratégique, un soutien technique et une direction aux opérations nationales dans ces pays.
POSTE 1: Spécialiste du Genre, des Urgences Sanitaires et de la Gestion des Risques de Catastrophes
CONTEXTE NATIONAL/CONTEXTE ORGANISATIONNEL :
La région de l’Afrique de l’Ouest et du Centre est confrontée à de multiples crises, avec un certain nombre de points chauds où la dégradation a déjà un impact humanitaire significatif, et d’autres où la violence et la fragilité menacent de provoquer de nouveaux déplacements, des pertes humaines et de moyens de subsistance, et de l’instabilité.
Cette situation s’inscrit dans un contexte bien connu de vulnérabilités chroniques, de chocs récurrents, de fragilité de l’État et de pauvreté, en particulier dans la bande centrale de la région.
Le Bureau régional de Dakar (BRD) soutient, oriente et supervise les 20 bureaux d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale.
Contexte général
Les risques climatiques tels que les inondations, les tempêtes, les sécheresses et les tremblements de terre sont neutres du point de vue du genre ; cependant, l’impact de ces risques sur les hommes et les femmes est d’une plus grande portée.
Les catastrophes naturelles présentent différemment les hommes, les femmes, les garçons et les filles, même s’ils appartiennent au même ménage. Cela signifie que les hommes, les femmes, les garçons et les filles subissent les impacts des catastrophes différemment et ont donc des besoins distincts.
Cette situation a posé des problèmes aux praticiens de la gestion des catastrophes, car les informations sur les populations supportées se limitent souvent à des chiffres consolidés qui se produisent rarement le nombre de ménages.
Une meilleure compréhension des facteurs à l’origine des différences d’impact des catastrophes entre les hommes, les femmes, les garçons et les filles a contribué à l’élaboration et à l’amélioration des politiques et à l’adaptation des interventions visant à renforcer la résilience.
Le changement climatique, les incertitudes économiques, les nouvelles épidémies et les pénuries alimentaires se conjuguent d’une manière qui suscite des inquiétudes considérables.
En outre, il existe des vulnérabilités aux catastrophes fondées sur le genre qui ne sont pas dues à un seul facteur, mais qui présentent des modèles historiques et culturels spécifiques des institutions sociales, de la culture et de la vie personnelle.
L’égalité de genre est essentielle pour renforcer la résilience et les voies d’adaptation dans le cadre de la gestion des risques de catastrophes.
Les tendances révélées dans les pays du Sud ont montré que la gestion et la aux catastrophes, y compris la gestion des épidémies, sont traditionnellement signalées comme des « affaires d’hommes » – prévues par des hommes pour des hommes (Banque mondiale 2011). Par conséquent, les besoins des femmes ne sont souvent pas compris ou pris en compte.
L’incapacité de l’Afrique à répondre de manière adéquate aux épidémies est aggravée par les inégalités de genre existant sur le continent, généralement définies par les rôles et les responsabilités attribuées aux hommes et aux femmes.
Ces inégalités se manifestent sous la forme de normes traditionnelles et sociales discriminatoires et de relations de pouvoir, d’un accès et d’un contrôle disproportionnés aux ressources, aux services et à la technologie, d’une prise de décision et d’un leadership féminins limités et d’un niveau d’alphabétisation et d’éducation inégale.
Ces amplifient l’impact des épidémies sur les filles et les femmes et ne cessent d’aggraver les vulnérabilités existantes, affectant la fourniture d’autres services de santé tels que la vaccination des enfants et des femmes.
Selon l’OMS, l’Afrique est confrontée en moyenne à une centaine d’épidémies de maladies infectieuses et autres situations d’urgence chaque année. Pourtant, la capacité du continent à réagir rapidement à ces flambées épidémiques constitue un défi de taille pour de nombreux pays africains.
Le problème est que si des investissements ont été réalisés dans la préparation nationale, la mise en place de centres d’opérations d’urgence (COU) et la planification de la réponse, il n’y a souvent pas de financement dédié aux pays pour une réponse rapide aux épidémies lorsqu’elles se produisent.
Comme on peut le constater dans la région de la CEDEAO, les maladies infectieuses émergentes menacent de plus en plus la santé, la sécurité et le développement. Un financement prêté et imprévisible amplifié à la fois le risque et l’impact des épidémies.
En outre, les pays correspondant aux systèmes d’alerte et de réponse précoces pour signaler et réagir aux épidémies consomment rarement en compte de manière adéquate les différences liées au genre dans leurs interventions.
Les traduisent entre les genres, notamment en ce qui concerne l’accès aux ressources et au pouvoir de décision, continuent d’exacerber la charge de morbidité qui pèse sur les.
La Côte d’Ivoire est un pays multiethnique bordant l’océan Atlantique Nord. Avec une population de 27,4 millions d’habitants, dont la plus forte concentration réside dans et autour des villes de la côte atlantique, le PIB de la Côte d’Ivoire s’élève à 70,0 milliards d’USD en 2021. La Côte d’Ivoire est classée 159e sur 191 pays dans l’indice de développement humain 2021.
Pendant la saison des pluies, la Côte d’Ivoire connaît des inondations torrentielles et des glissements de terrain occasionnels. Une plateforme nationale de réduction des risques de catastrophes a été créée en 2012 sous l’égide de la Primature, et la Côte d’Ivoire s’est récemment dotée d’une stratégie nationale révisée de réduction des risques de catastrophes pour la période 2020- 2030.
La Côte d’Ivoire a également été confrontée à de nombreuses épidémies, avec des urgences de santé publique notables telles que la dengue et la rougeole.
Grâce à sa participation à l’évaluation externe conjointe de l’Organisation mondiale de la Santé (EEC) sur l’état de préparation du pays en 2016, la Côte d’Ivoire a pu réaliser son plan d’action national pour la sécurité sanitaire (NAPHS) en 2018.
La République de Côte d’Ivoire est un État membre de l’ARC depuis 2013, et le pays participe au programme de renforcement des capacités en matière de sécheresse.
Le Groupe African Risk Capacity (ARC) est composé de l’Agence ARC, Institution spécialisée de l’Union africaine fondée en 2012, et de l’African Risk Capacity Limited (ARC Ltd), un assureur mutuel hybride et la filiale commerciale du Groupe fondée en 2014.
L’Agence ARC a été créée pour aider les gouvernements africains à améliorer leurs capacités de planification, de préparation et de réponse aux catastrophes naturelles signalées par des événements climatiques extrêmes, et des flambées épidémiques.
D’autre part, ARC Ltd offre des services complémentaires de mutualisation et de transfert des risques. Ensemble, ils fournissent aux États membres des services de renforcement des capacités et de planification d’urgence, l’accès à des systèmes d’alerte précoce de pointe, ainsi que des services de mutualisation et de transfert des risques pour renforcer la résilience face aux catastrophes naturelles telles que les sécheresses et les cyclones tropicaux.
En décembre 2022, le Groupe ARC a lancé son produit d’assurance contre les risques d’épidémies. Cet instrument innovant de financement des risques, demandé en 2015 par les ministres africains des Finances à la suite des épidémies d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2013-2016, vise à doter les pays d’un financement rapide et prévisible pour contenir les épidémies de maladies infectieuses à fort impact telles qu’Ebola, Marburg et la méningite, et à compléter les efforts des Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC) pour préserver la sécurité sanitaire dans toute l’Afrique.
L’ARC, grâce à des partenariats établis avec la CEDEAO, l’Organisation Ouest Africaine de la Santé (OOAS) et l’Institut Pasteur de Dakar, soutient un travail de renforcement des capacités visant à mettre en œuvre des pratiques de gestion et de financement des risques de catastrophes, et à renforcé les capacités de surveillance, de prévention des maladies, de réponse et de résilience aux épidémies et autres urgences sanitaires dans les États membres de la CEDEAO.
Sous la direction des unités Epidémies et Genre de l’ARC et avec le soutien des responsables de l’engagement pays, nous cherchons à recruter un spécialiste du genre, des urgences sanitaires et de la gestion des risques de catastrophes pour la Côte d’Ivoire afin de :
Conformément aux objectifs ci-dessus, les éléments essentiels de la mission sont les suivants :
TÂCHES, DURÉE DES TRAVAUX ET LIVRABLES :
Lieu de travail : Côte d’Ivoire / à domicile
ÉDUCATION
Master (reconnu par https://www.whed.net/home.php ) dans un domaine lié à la santé publique, au genre, à la gestion des risques de catastrophes, au changement climatique, à l’environnement, au développement durable , ou une licence (Premier diplôme universitaire) dans les mêmes domaines avec des années supplémentaires d’expérience professionnelle ou de formation.
Si vous ne trouvez pas votre diplôme universitaire dans ce lien, veuillez noter qu’il vous appartient d’obtenir une lettre officielle de votre ministère de l’éducation indiquant qu’il reconnaît l’université et le diplôme.
EXPÉRIENCE
Au moins dix (10) ans d’expérience professionnelle pertinente et progressive aux niveaux international et national dans le domaine de la santé publique, de l’intégration de la dimension genre dans les projets et politiques de développement, en particulier dans l’élaboration de manuels et de matériel de formation pour l’intégration de la dimension genre ou sur au moins un autre thème lié, y compris la gestion des risques de catastrophes, la santé publique et le développement durable.
Langues :
Maîtriser le français et l’anglais, y compris la capacité à rédiger des documents d’information et de communication externes clairs et concis, des documents fonctionnels stratégiques, etc.
Expériences, connaissances et compétences requises
– Expérience substantielle de la recherche et de l’analyse dans le domaine de la santé publique, de l’égalité des sexes et d’au moins un thème connexe, notamment la gestion des risques de catastrophes, l’atténuation du changement climatique et l’ ‘adaptation à celui-ci, l’environnement et le développement durable.
– Forte compréhension des liens entre la gestion des risques de catastrophe, le fonctionnement et l’évaluation et les questions d’égalité entre les hommes et les femmes.
– Expérience ou bonne connaissance du travail du PAM et d’autres partenaires de développement multilatéraux, transmis et de la société civile.
– Excellentes capacités d’analyse, de rédaction et de communication.
Date limite de candidature : 27 Juillet 2023
POSTE 2: Agent de sécurité CST II
CONTEXTE ORGANISATIONNEL
Ces rôles sont susceptibles de se trouver au siège (HQ) ou dans les bureaux de pays (CO). Les titulaires de poste relèvent du directeur de division/pays ou de la personne désignée.
Les titulaires de poste à ce niveau font preuve de capacités d’adaptation dans la gestion efficace de la sécurité et apportent des contributions indépendantes importantes à la planification et à l’élaboration de politiques et de procédures de sécurité.
Les titulaires de poste doivent gérer une variété d’activités de sécurité et effectuer des travaux analytiques d’une complexité considérable, souvent gérer et mener à bien des projets ou des missions de nature majeure en obtenant des résultats efficaces.
Les titulaires de poste ancrent généralement une équipe assurant des performances et un développement élevés.
OBJET DE LA MISSION :
Soutenir la gestion des opérations de sécurité du PAM afin de permettre l’exécution efficace de programmes qui répondent aux besoins d’assistance alimentaire et de maintenir la sécurité et la sûreté du personnel, des activités et des installations du PAM.
Pourquoi travailler avec nous ?
RESPONSABILITÉS/RESPONSABILITÉS CLÉS :
Le titulaire sera responsable de l’exécution des tâches et responsabilités suivantes :
EXPÉRIENCES SOUHAITÉES POUR L’ENTRÉE DANS LE RÔLE :
A contribué au développement de systèmes et d’outils pour le suivi et l’évaluation des situations de sécurité conformément aux méthodologies innovantes et aux meilleures pratiques
QUALIFICATIONS ACADÉMIQUES MINIMALES STANDARD :
POSTE 3: Associé aux ressources humaines, SSA6/SC6/G6
CONTEXTE DU PAYS/ CONTEXTE ORGANISATIONNEL
La région Afrique de l’Ouest du PAM s’étend de la Mauritanie au Tchad et le long de la côte du Cameroun au Sénégal. Il se compose de 19 pays; Bénin Burkina Faso, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigeria, Sao Tomé et Principe, Sénégal, Sierra Leone et Togo. Le Bureau régional pour l’Afrique de l’Ouest (RBD) est basé à Dakar et fournit des orientations stratégiques, un soutien technique et une direction aux opérations nationales dans ces pays.
OBJECTIF DU POSTE
L’associé aux ressources humaines relève du responsable des ressources humaines du bureau régional (RBD) et fournit une gamme complète de services d’appui aux ressources humaines pour assurer la mise en œuvre précise des politiques et procédures du PAM et faciliter le fonctionnement efficace des services de ressources humaines axés sur le client et axés sur la stratégie. .
Cet appel à candidature est publié pour atteindre deux objectifs :
(i) créer une réserve de talents pour faciliter une sélection et un déploiement rapides d’associés aux ressources humaines au bureau régional du PAM pour l’Afrique de l’Ouest à Dakar en fonction des besoins ;
(ii) donner la possibilité aux candidats d’exprimer leur intérêt à faire partie de cette liste pour atteindre le premier objectif.
La VA n’est liée à aucune position ouverte actuelle. Cependant, toutes les candidatures reçues seront examinées et feront l’objet d’un processus de sélection visant à évaluer l’expérience professionnelle pertinente et les qualifications des candidats.
PRINCIPALES RESPONSABILITÉS/RESPONSABILITÉS
QUALIFICATIONS SPÉCIFIQUES ET EXPÉRIENCE REQUISES
Éducation:
Premier diplôme universitaire (Licence, Licence/BAC +3) en Gestion des Ressources Humaines, Administration Publique ou des Entreprises, Psychologie Industrielle ou autre domaine pertinent.
Expérience:
Minimum de six (6) ans ou plus d’expérience en ressources humaines avec un intérêt pour le développement humanitaire international.
Langues :
Maîtrise (niveau C) du français et de l’anglais écrits et parlés.
EXPÉRIENCES SOUHAITÉES POUR L’ENTRÉE DANS LE RÔLE :
CONNAISSANCES ET COMPÉTENCES REQUISES
Recommandation spéciale :
Avant de postuler, veuillez confirmer que (i) votre profil en ligne et votre CV sont exacts et à jour, (ii) votre CV doit inclure vos antécédents professionnels, vos qualifications académiques et vos compétences linguistiques. Les candidats doivent clairement indiquer leurs domaines d’expertise dans leurs lettres de motivation.
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