Si vous n’êtes pas une star du football ayant signé un transfert aux Émirats, mais que vous aspirez malgré tout à devenir milliardaire, vous feriez mieux de vous immerger dans des livres pour approfondir vos connaissances.
Cependant, quelles études vous offriront les meilleures chances de réussite ? C’est la question à laquelle le magazine économique américain Forbes s’est attelé.
Tout d’abord, il est important de souligner que certains milliardaires n’ont tout simplement pas obtenu de diplôme. Par exemple, lors des retrouvailles de l’université de Harvard, vous ne trouverez pas Bill Gates ou Mark Zuckerberg, pourtant des habitués de longue date des listes des personnes les plus riches du monde.
Cependant, il est bon de garder à l’esprit que les exceptions confirment la règle. Malgré cela, Forbes a cherché à établir un lien entre les domaines d’études et les comptes bancaires bien garnis. Les résultats font ressortir des tendances marquantes.
Recherche et planche à billets
L’étude cible les 35 milliardaires américains les plus riches, dont pas moins de neuf ont obtenu un doctorat en génie électrique. Ces études sont disponibles dans presque toutes les grandes universités belges.
Le nom le plus marquant est celui d’Eric Schmidt, le PDG de Google, qui dispose de 16,2 milliards de dollars en réserve. D’autre part, Min Kao, propriétaire de Garmin, peut également dormir sur ses deux oreilles avec ses 4,2 milliards de dollars d’économies.
Oui à l’informatique !
Les informaticiens continuent-ils à figurer parmi les personnes les plus riches du monde ? Certainement ! Six des 35 individus fortunés sont diplômés en informatique. Charles Simonyi en est un exemple éloquent : le père fondateur de Microsoft Word et Excel a déjà amassé la somme impressionnante de 7,7 milliards de dollars.
De même, six autres milliardaires du classement ont obtenu un diplôme dans le domaine biologique. L’actuel directeur d’Apple, Art Levinson, en est un exemple probant, ayant accumulé une belle fortune. De plus, les chimistes et les physiciens sont particulièrement bien représentés dans le cercle prestigieux du classement Forbes.
L’exception Lurie ?
Si vous ne suivez aucune des cinq directions mentionnées précédemment, ou si vous n’aspirez pas à l’une d’entre elles, pas de panique ! Votre voie vers l’ultime modèle de revenu ne doit pas nécessairement être une simple extension de vos études universitaires.
Prenez l’exemple de Jeffrey Lurie. Ce professeur en politique sociale a accumulé une fortune en achetant l’équipe de football américain The Philadelphia Eagles. Son point de vue est le suivant : “La discipline que vous étudiez n’a pas d’importance. Tout est une question d’analyse, quel que soit le domaine dans lequel vous vous trouvez !”
Cela nous amène à une conclusion essentielle : avant tout, faites ce que vous aimez, car le bonheur dans vos études et dans votre travail n’a pas de prix.
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