On parle de GNONGBO Mira, la jeune juriste qui lutte pour la cause des enfants !

Jeune fille leader pour qui, l’engagement est le fait de contribuer au développement durable des communautés en menant un ensemble d’actions ; GNONGBO Mira est l’invitée 10 de la rubrique On parle d’2.

Quand passion s’allie au métier !

Première née de sa famille et originaire de Bafilo, GNONGBO Mira Sandra voit le jour le 1er novembre 1999 à Assahoun.
Après son Certificat d’Etude du Premier Degré (CEPD) à l’école privée « La Citadelle », elle continue et finit son parcours d’élève en 2017 au Collège Protestant Lomé-Agbalepedogan.
Avec une brillante réussite au baccalauréat, elle reçoit une bourse pour poursuivre ses études à l’université privée IHERIS.
 Désirant ardemment venir en aide aux enfants et à ces mères dans le besoin, elle saisit l’opportunité de bourse et se tourne vers les études de droit afin de veiller à ce que les droits de ces derniers ne soient bafoués.
Actuellement en Master droit privé fondamental à l’Université de Lomé, elle ambitionne devenir juge pour enfants.

Une cause qui lui semble noble !

Cheffe projet à JEDS (Jeunes Engagés pour le Développement Social), collaboratrice de CUEHA (Cœurs Unis pour une Enfance Harmonieuse), elle milite depuis un an dans plusieurs associations qui assurent le bien-être des enfants en offrant des kits alimentaires aux familles vulnérables et des kits scolaires aux élèves.

Également membre de la communauté « Je suis mon héroïne », elle a rejoint récemment le mouvement « Je fê partie de la solution », tout ceci dans le but de relever le niveau de leadership des jeunes filles, futures mères, de permettre aux enfants de grandir dans une famille financièrement stable et de les aider à s’épanouir, tout en trouvant leur passion.

Ambassadrice de l’Académie Bilimon où, ils prônent la citoyenneté utile au sein de nos communautés, elle a été téléopératrice et restauratrice. Elle arrive à porter plusieurs casquettes quand il le faut et travaille aussi avec des cabinets juridiques. Elle se donne les moyens pour devenir une grande juriste, afin de créer son monde de rêve : un monde où chaque enfant se réalise en toute liberté.

Elle nous répond

Une femme togolaise qui vous inspire !
Même si, je n’ai pas eu l’occasion de côtoyer assez Madame Kayi Dogbe, elle dégage un charisme impressionnant et elle m’inspire beaucoup.

Comment arrivez-vous à gérer études et vie associative ?
Ce n’est jamais aisé, j’ai toujours été stricte envers ma personne et mon emploi du temps. J’ai l’habitude de déterminer mes priorités et de planifier mes semaines à l’avance, je ne participe donc pas aux événements pour lesquels je ne suis invitée qu’à la veille.

Dites-nous comment vous faites partie de la solution !
De nos jours, beaucoup d’enfants sont maltraités, ceci part de la famille et j’ai toujours commencé la sensibilisation par là. En faisant des plaidoyers auprès des tuteurs pour qu’ils arrêtent des châtiments corporels sous forme de punition à l’enfant, en mettant l’accent sur les droits et devoirs des enfants et en veillant à ce que l’enfant grandisse dans un environnement sain, je m’engage à atteindre l’objectif zéro enfant marginalisé.

Tout en espérant avoir levé le voile sur l’engagement de Mira GNONGBO la découverte du mois, nous vous laissons sa citation préférée : 

Le travail et après le travail, l’indépendance mon enfant, n’être à la charge de personne telle doit être la devise de votre génération. Bernard DADIE.

Andréa MAGNON

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7 commentaires

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      • Félicitations à la très chère Mira qui continue de faire notre fierté! Que les enfants pour qui tu t’investis, découvrent également ton dynamisme, ton humilité et ta simplicité qui font de toi une femme forte et remarquable! Bon vent à toi!